En préparation
Sortie en librairie : mai 2025
If your cat doesn't read, share with him out loud the story of the nine lives of Lucifer. all the salt of a life of community between a feline and his humans is beautifully chiseled there. "What if Lucifer - the cat - had presided over human destinies by influencing the Great Men during his successive existences? All you have to do is add a little touch of imagination to each chapter. But would it really be imagination?" Reading the 9 lives of Lucifer we find ourselves in the strange atmosphere of the daily life that we share with our four-legged companions. The author's words are tender and humorous and sensitivity flows constantly like living water between the lines. It is a magnificent tribute to our furry friends and the emotion present in each chapter reminds us how precious life is and how much we miss our cats and dogs when they leave us.
Sortie en librairie : septembre 2025
« Je vous ai haï et j’ai aimé vous haïr, jusqu’au vertige. J’ai surtout aimé la colère inévitable qui en découle. Vivifiante, tonique, stimulante ».
Ce sont par ces mots que débute ce roman où on retrouve les souffles du triller psychologique mêlés à ceux des grands classiques du siècle dernier.
Quand un sale individu saccage ses quatorze ans, Marie est submergée par la haine. De la force dévastatrice de ce sentiment, naîtra une colère viscérale qui va décupler son désir de vivre.
Loin de l’anéantir, l'horreur subie fera d’elle une femme sûre de son droit à exister.
L’écriture de Marie. B. Ferreira ne s’encombre pas de fioritures. Avec des mots incisifs, à l’instar de Marie, elle nous bouscule, elle nous bouleverse et nous interroge. Et si la haine n’était pas la seule responsable de tous les maux de notre monde, mais bel et bien la principale manifestation d’un ras-le-bol de ceux qui nous dominent.
Sortie en librairie : octobre 2025
Ami lecteur, mon semblable, mon frère, avant d’entamer la lecture du présent guide, ferme les yeux, et imagine.
Imagine un cimetière ancien, par nuit de pleine lune. Le vieux portail en fer rouillé a grincé hideusement lorsque tu l’as poussé, pareil au rire de quelque sorcière égarée. Les tombeaux de pierre semblent des bateaux échoués à terre, dressant vers le ciel noir leurs mats en croix. Ça et là, quelques sépulcres abandonnés, aux dalles brisées, laissent entrevoir leurs entrailles de terre. Une chouette hulule. Soudain il fait plus froid. Au clocher de l’église voisine, les douze coups de minuit sonnent. Là-bas, entre deux tombes, une silhouette pâle vient de passer. La silhouette de la Dame blanche. Malgré toi, ami lecteur, tu frémis…